Après le Bon Coin, la Bonne Epave…L’émergence des sites Internet proposant des pièces de réemploi vendues par des particuliers inquiète la profession. La vente par les particuliers de ces pièces est avant tout, une question de sécurité routière. Le CNPA a saisi la DGCCRF.

Après avoir annoncé lors de sa présence sur le salon Epoqu’Auto de Lyon en novembre 2016, la création de sa branche Véhicules Historiques, Le CNPA, confirme sa volonté de développer ses services aux professionnels de la réparation de ce secteur.

Le CNPA l’avait annoncé en septembre dernier, la fusion avec la FNCRM est désormais officielle. Depuis 1er janvier 2017, la Fédération Nationale du Commerce et de la Réparation du Cycle et de la Moto a rejoint le métier deux-roues du CNPA. La Fédération est ainsi devenue Filière. Deux organisations professionnelles qui aujourd’hui se réunifient pour représenter la profession au sein d’une seule et même organisation.

Le 10 janvier, un rapport parlementaire et une communication de la Commission européenne ont appelé à lever les barrières sur la libre circulation des données des objets connectés. Ces deux initiatives appellent à un meilleur partage des données au bénéfice de l’ensemble des acteurs économiques... et in fine, du consommateur. Une position que le CNPA porte, en France comme à Bruxelles, dans le cadre des travaux en cours sur le véhicule connecté.

Depuis le 1er janvier, la mesure relative aux pièces issues de l’économie circulaire, votée dans le cadre de la loi Transition énergétique, est entrée en application. L’occasion pour le CNPA de refaire le point sur les obligations incombant réellement aux professionnels et les textes encore en attente.

Le CNPA, première organisation professionnelle de la distribution et de la réparation automobile, du 2 roues et du camion, met à la disposition des entreprises, un guide méthodologique pour évaluer et déclarer la pénibilité.