Recycleur de l’auto: un métier « made in France »
Fortement contributeur à l’économie locale et au pouvoir d’achat, le métier de recycleur ne peut être délocalisé. Le CNPA estime qu’il s’inscrit parfaitement dans le concept global du « made in France »
Fortement contributeur à l’économie locale et au pouvoir d’achat, le métier de recycleur ne peut être délocalisé. Le CNPA estime qu’il s’inscrit parfaitement dans le concept global du « made in France » et mérite à ce titre d’être valorisé.
Préserver l’emploi. Les véhicules hors d’usage (VHU) doivent être dépollués, démontés, et détruits en France. La profession est aussi capable de créer de nouveaux emplois avec l’informatisation et la commercialisation des pièces de réemploi à grande échelle.
- 1705 centres VHU embauchent 12 000 salariés.
- 994 « chantiers sauvages » recensés par l’ADEME pourraient être fermés afin de libérer des gisements d’emplois.
Miser sur la qualité. La traçabilité des pièces de réemploi (PRE) est assurée à 100%, garantissant ainsi aux consommateurs une qualité et une sécurité équivalentes aux pièces neuves pour l’entretien ou la réparation de leur véhicule. Les pièces sont aujourd’hui contrôlées lors de toutes les phases de traitement des VHU.
- Le CNPA estime que 20 à 30% des Véhicules déclarés VEI(1) pourraient être sauvés par une utilisation accrue de la PR : 80 000 à 120 000 véhicules pourraient ainsi être réparés chaque année au lieu d’être détruits.
Protéger l’environnement. C’est tout l’objet de ce métier: dépolluer les VHU, augmenter la valorisation et réutilisation des véhicules et permettre le recyclage des déchets qui en résultent.
- Pour 1,7 million de VN vendus chaque année, 1,2 million de VHU sont traités.
Sachant que 95% des français considèrent qu’acheter un produit « made in France » est un acte citoyen (2), la pièce de réemploi entre au cœur de cette démarche et il est important de le faire savoir ! En ce sens le CNPA diffuse à ses adhérents pour affichage dans les centres VHU et distribution à la clientèle:
- 1 000 affiches ;
- 100 000 dépliants ;
- 50 000 cartes postales.
La pièce de réemploi est produite par des centres VHU agréés, en France, par une main d’œuvre locale, à partir de véhicules hors d’usage traités écologiquement : un atout majeur pour la France, à développer au bénéfice des consommateurs, des professionnels de l’automobile et de l’environnement.
(1): VEI Véhicule Economiquement Irréparable : lorsque le coût de la réparation dépasse la valeur du véhicule.
(2): Sondage Ifop réalisé pour Atol et publié jeudi 24 janvier 2013.
Télécharger le DOSSIER DE PRESSE
Télécharger ce communiqué de presse