Nouvelle étude après-vente : tout savoir sur le marché en 2018 et 2022, pour mieux se préparer !
Réalisée pour le compte du CNPA par TCG Conseil, en premier lieu comme outil pour ses adhérents afin de leur expliquer les tendances et les inviter à y réagir, cette étude établit un état des lieux du marché de l’après-vente, basé sur les données 2013
Ainsi le nombre d’opérations de réparation-maintenance a diminué de 5,6% entre 2010 et 2013 (49,2 millions d’opérations en 2013) tandis que l’on note un déclin de 4,3% sur la même période en valeur (21,9 milliards d’euros de CA en 2013).
Une évolution du marché à échéance 2018 et 2022
Le modèle mathématique créé spécialement pour cette étude prend en compte différentes variables, telles que l’évolution du parc circulant, les intervalles de révisions, l’incidentologie, ou encore les comportements clients (grâce à une étude clients menée en janvier 2015 pour le CNPA auprès de 2 000 automobilistes).
De la même manière, un ensemble de facteurs doit être pris en considération pour estimer les parts de marché des différents acteurs (structure par âge du parc ; nombre d’ateliers, de techniciens ; évolutions technologiques ; stratégies de conquête et/ou de fidélisation…).
Ainsi, au global, si l’on s’intéresse à tous les segments du marché après-vente (réparation-maintenance, pneus, réparation-collision, bris de glace, garantie), le marché continuera de décroitre en volume à moyen et long terme, même si cette tendance baissière s’amenuisera :
- 4,1% d’opérations entre 2013 et 2018 ;
- 3% d’opérations entre 2018 et 2022.
En valeur, le marché de l’après-vente total diminuera très légèrement à 2018 et 2022 (corrigé de l’inflation) avec une perte d’environ 1% entre 2013 et 2022. Contrairement à la situation en volume, la baisse s’accélère entre 2018 et 2022 (-0,3% entre 2013 et 2018 ; puis -0,7% entre 2018 et 2022).
Quelle position pour les opérateurs sur ce marché oÙ la concurrence ne fera qu’augmenter, accentuant la pression sur les prix et les marges ?
Selon les estimations (et sur la base d’un scénario d’absence de rupture radicale des réseaux de marque), le canal indépendant représenterait en 2022 près de 65% des parts de marché en volume (soit +4,6% par rapport à 2013). Le canal "constructeur" se répartirait 21,3% des opérations pour les concessionnaires et 13,9% pour les agents.
En valeur, le canal indépendant représenterait 62,2% de parts de marché. Les réseaux de marque, qui représentent 46,3% en 2013 des parts passeraient à 37,8% en 2022. Cependant, une certaine convergence des prix entre les canaux peut être observée.
NB: Synthèse sur demande
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